We lost a good guy.
Today it was learned that Huell Howser died at the age of 67. Huell hosted a couple PBS series that showed interesting parts of California and at first blush his folksy style left me wondering if he was genuine or not. It didn't take long to reach the conclusion that he catch phrase "That's amazing!" was not an act.
A look at PBS Kids' "Jelly, Ben & Pogo," a series of animated shorts about two Filipino-American siblings and their sea monster pal.
New trailer!
Who's the person he didn't think mattered? There's an argument for Mycroft, but I think it's Molly.
MASTERPIECE | Sherlock Returns Preview | PBS - YouTube
True story: I was working the pledge drive for a PBS station (because I'm a viewer, like you) during the local art auction last year and had to field calls from old women demanding to know why the Hell (direct quote) Lawrence Welk wasn't on. Because it was something they waited all week for. My takeaway from this was a new appreciation for "hope I die before I get old."
On the other hand, if Welk had been the star of a Hanna-Barbara mystery show, I would watch the crap out of it just for the accent.
Via Jeffrey Jon Pidgeon
Lawrence Welk comics. Let me repeat that: Lawrence. Welk. Comics.
“Mutants. Flesh of our flesh, blood of our blood, yet possessing powers and abilities which set them apart from — some might say above — humanity." http://www.thebentbullet.com/
Marvel Entertainment and X-Men Films take on the JFK assassination with a viral meme mutant variant, appropriating 50 years of American corruption as another super-fly in their radioactive corporate entertainment ointment. Substitute Magneto for George Herbert Walker Bush, the CIA for the Mutant Superiors, and advanced covert weaponry for bent bullets, and you apprach what actually has unfolded as USA Global War Inc. But that's another story...
Mutant Makeup Turns Models in to Classic Artworks
Ray Bradbury began writing every day at age 12, after a carnival magician called Mr. Electrico tapped him w/his sword and said "Live Forever!"
Midnight Juggernauts: Systematic on Nowness.com Ray Bradbury wrote his novel Fahrenheit 451 at UCLA Library on typewriters he rented for 20¢ per hour. Took him 9 days and $9.80 in change.
Shawn Heinrichs est passionné de photographie mais aussi de plongée. Ce dernier a décidé donc de collaborer avec la mannequin et plongeuse « Hannah Fraser » pour cette superbe série d’images réalisée dans l’océan Pacifique en présence de baleines. Un rendu exceptionnel à découvrir dans la suite de l’article. Underwater Superhumans and Whales http://www.livescience.com/41475-wow-the-most-amazing-images-in-science-this-week
The #GhostDeer is completely white due to a lack of melanin http://to.pbs.org/11OGkhy @PBS “The Private Life of Deer”
A look back on Gwen Ifill’s life and remarkable career in journalism.
It's a beautiful day in the neighborhood!
The Art of Film & TV Title Design | Off Book | PBS (by PBSoffbook)
This regime wants to exert even more control over the news and information that the public receives – or doesn’t even receive at all. That's why it is attacking publicly funded media like NPR and PBS. But it's also part of a ploy to gut vital public services and oversight in order to clear the way for more tax cuts (and subsidies) that will predominantly go to the super-rich and powerful corporations. Know the truth. (Art work by @doodlebymeg)
(Article initialement paru le 31 mai 2011 dans le magazine de la Gaité lyrique, Gaite Live).
« Coup 2 Gueule » extrait de l’album « Nos Connes Doléances ». 2008.
Dakar, février 2011. Afin de dénoncer une décennie de gouvernance ultra-libérale qui asphyxie la population, un groupe de rap, Keur Gui2 Kaolack, lance le mouvement d’opposition au pouvoir le plus radical et le plus médiatisé de ces dernières années et renoue ainsi avec l’engagement inscrit dans l’ADN du rap sénégalais. Retour sur la généalogie d’un mouvement qui marque encore l’histoire du hip-hop.
Difficile de comprendre le mouvement hip-hop au Sénégal sans revenir sur le groupe pionnier, les PBS : Positive Black Soul. Le duo – Didier Awadi & Doug E. Tee – se forme à la fin des années 1980, alors que la jeunesse va se trouver marginalisée par les mouvements de grèves dans l’enseignement supérieur qui vont paralyser le système et aboutir à la fermeture de nombreux départements universitaires et à l’invalidation des examens. Victimes du désengagement de l’État, les jeunes de la classe moyenne vont trouver dans le rap – ce nouveau courant musical directement importé des États-Unis – le moyen d’exprimer leur rage et leur frustration. En 1992, PBS émerge sur la scène sénégalaise et incarne une prise de position sociale fondée sur l‘auto-responsabilisation. En 1994, leur morceau Boul Falé (« T’occupe pas » en wolof), qui deviendra un véritable hymne du mouvement, va porter pour la première fois la critique populaire de l’institution gouvernementale et inscrire le rap sénégalais dans sa destinée politique. La digue est ouverte, ils seront des milliers à se déclarer rappeurs et porte-parole de la jeunesse engagée.
En mars 2000, 300 000 jeunes vont s’inscrire sur les listes électorales et revendiquer le Changement (« Sopi » en wolof) qui portera l’actuel Président Abdoulaye Wade au pouvoir. Entre temps, le rap sénégalais s’est émancipé du rap américain en se trouvant des racines africaines dans le tassou ou le taxourane, des formes ancestrales de scansion, des références intellectuelles dans les figures du panafricanisme que sont Cheick Anta Diop, Kwame Nkrumah et des maîtres spirituels comme Cheick Oumar Tall.
Democracy in Dakar
African Underground: Democracy in Dakar - Episode # 1 from Nomadic Wax on Vimeo.
En 2007, les Sénégalais qui avaient choisi de changer de gouvernement en espérant que celui-ci changerait la société sont déçus, le « sopi » ne leur a rien rapporté, mais de nouvelles élections se préparent. Le rap a, quant à lui, acquis ses lettres de noblesse et, contrairement au modèle américain qui a abandonné les revendications sociales au profit de la flambe, il assure plus que jamais son rôle de trublion politique. L’usage d’Internet s’est généralisé, modifiant les circuits de diffusion, les modes de production et les réseaux musicaux. La toute jeune équipe de Nomadic Wax – une société de production basée à Brooklyn,spécialisée dans le hip hop – dont la démarche procède à la fois du vidéo journalisme et de l’activisme, a trouvé au Sénégal matière à promouvoir la vocation politique de cette culture. Ben Herson, qui connaît très bien le terrain pour avoir présenté une thèse sur le Wolof à l’Université de Columbia, Magee Mclllvaine et Chris Moore, vont passer un mois à Dakar et partager le quotidien des groupes de rap avant, pendant et après les élections. Ils réalisent un documentaire destiné au départ à être diffusé sur le Web, en six épisodes : African Underground: Democracy in Dakar. Ce qu’ils vont découvrir et très bien montrer, c’est que la position des rappeurs a bien changé : eux qui avaient porté l’avènement de Wade, lui demandent aujourd’hui de quitter le pouvoir et entrent en résistance. Très vite, tout comme les journalistes et intellectuels qui ont choisi de critiquer l’inertie des gouvernants, ils vont devoir faire face à une répression, discrète mais effective : menaces d’emprisonnement ou de représailles sur la famille, tentatives de corruption ou censure dans les médias, qui va en partie les réduire au silence. La victoire de Wade au premier tour laisse un goût amer et marque le début d’une traversée du désert pour le rap sénégalais. Les stars vont chercher une reconnaissance à l’international laissant le terrain aux jeunes des banlieues pauvres de Dakar, Pikine, Guediawaye, Rebeuss, ou encore des villes totalement excentrées comme Kaolack.
Les damnés de la terre
C’est d’ailleurs de cette ville-carrefour, située à la frontière de la Gambie, écrasée par le soleil et les transactions en tous genres, que va venir le renouveau du mouvement rap. Ici, le modèle c’est le gangsta rap. C’est lui qui traduit le mieux l’ambiance chaotique et hors-la-loi de la ville. Le rappeur Rifou, début de notoriété nationale, revendique le statut de damnés de la terre : nous on est des bandits.
Mais les vrais chefs de file, c’est le duo que forment Kilifeu et Thiat sous le nom de Keur Gui2 Kaolack (« Keur Gui », la maison en wolof). Les partisans du mouvement de décentralisation / dé-dakarisation ne sont pas des nouveaux venus. Sur la place depuis la fin des années 1990, ils se revendiquent même comme étant le seul groupe de rap à avoir fait de la prison. Ils en ont gardé le goût de la lutte et de l’engagement politique. En 2008, ils sortent l’album « Nos Connes Doléances » dont le titre « Coup de gueule » marque le retour du rap dans l’arène politique nationale. (À noter que la vidéo a été réalisée par la société de production Gelongal, constituée par deux frères anciennement rappeurs.)
Dakar, février 2011 : Y’EN A MARRE
Onze années de gouvernance du Président Wade ont rendu le pays exsangue. La série des grands travaux qu’il a lancés rend encore plus criante la précarité économique dans laquelle la majorité de la population s’enlise et les Sénégalais n’en peuvent plus de vivre au rythme des délestages. Keur Gui2 Kaolack profite du rassemblement du Forum Social Mondial à Dakar pour tenir une conférence de presse qui n’a rien à voir avec la présentation de leur dernier album : il s’agit du lancement officiel du mouvement citoyen, « Y’en a marre » qui invite « lutteurs, marchands ambulants, ouvriers, étudiants, journalistes, enseignants, rappeurs et artistes à s’associer à cet élan de protestation pour exprimer leur « ras-le-bol » de vivre au rythme des coupures d’électricité ». Leur objectif : faire signer et déposer un million de plaintes auprès du gouvernement. Sur sa page Facebook, Keur Gui annonce la couleur : « L’heure n’est plus aux lamentations de salon et aux complaintes fatalistes face aux coupures d’électricité. Nous refusons le rationnement systématique imposé à nos foyers dans l’alimentation en électricité. La coupe est pleine : Y’EN A MARRE ». Le mouvement dénonce les injustices, le chômage, la corruption, mais il cherche surtout à faire participer la population et principalement les jeunes. Le 19 mars 2011, date anniversaire des élections, Y’en a marre convoque les jeunes dakarois à une manifestation-spectacle sur la place de l’Obélisque à Dakar. Les animateurs ont fait passer le message : tee-shirts noirs avec « Y’EN A MARRE » en lettres blanches distribués à la foule, slogans rythmés par le rap, utilisation du langage du peuple et du wolof. Signe de la mondialisation, la manifestation est relayée par les diasporas de Paris et de New York.
Journée du 19 mars 2011
Les jeunes de moins de 25 ans représentent plus de 60% de la population et, à un an des élections, les jeunes en âge de voter cristallisent l’attention des partis politiques. L’inscription sur les listes électorales est ouverte jusqu’au 30 juin. Le temps presse. Depuis le 15 avril, le collectif a lancé une campagne nationale « Daas Fanaanal » (se prémunir) pour les convaincre de s’inscrire sur les listes électorales et de retirer leur carte d’électeur. À cet effet, Keur Gui a l’intention de mobiliser le mouvement hip-hop – des rappeurs comme Fou malade*, Rifou, Eumzo Me Flower y participent déjà activement– mais aussi les chefs religieux qui sont de véritables leaders d’opinion. L’action du collectif devient rapidement la cible du gouvernement qui interdit les rassemblements et les conférences de presse de ses membres. Mais Keur Gui n’a pas peur, ils « circulent avec leur acte de décès » !
La révolution sénégalaise est en marche, les pages Facebook qui visent les élections et les hastag sur twitter se multiplient, les mouvements citoyens ont le vent en poupe. Gageons que cette fois, c’est le rap qui en sortira vainqueur. Car à n’en pas douter, la relève est assurée.
Oulimata Gueye
Didier Awadi – Samy Dorbez, Dégage, mars 2011
Everyone watching Sanditon: Nothing can replace Charlotte and Sidney!
Me: Will Tom Parker’s plans for Sanditon succeed? Will Georgiana meet more fortune hunters and turn them down with a wicked burn?! Oh and I’m sure Charlotte will turn out fine. She’s a lovely woman who doesn’t need a man to complete her, especially one that marries women for money and changes his mind at the drop of a hat. But really, WHAT ABOUT THE REGATA! I must learn about the Parkers’ latest plans for our Sanditon!
Bring the tea and cucumber sandwiches cut ever so thin
Sanditon Season 2
I can’t be the only person that likes the new BBC/PBS Les Miserables adaptation, can I?
I randomly decided to draw Arthur characters from memory
I need the power of the internet to work in my favor here. I am trying to figure out if this memory I have is a fever dream or if it was real...
I remember when I was little, so maybe ~13ish years ago, there was a short animated series that I think may have been on Disney (although the more I think the more I start to believe it may have been on PBS or something, I just know it had to have been a slightly educational channel bc after there was a short about how to take care of plants and fun ways you can plant seeds without access to a large garden). Similar to Choo Choo Soul or those singing potatoes, except this was an animation of the story Three Billy Goats Gruff. The animation style was, to my child eyes, absolutely beautiful. It started out as a book, but the setting and characters would flip up and become moving 2D parts. And there was also a narrator that was not visible during the storytelling, of course. I believe there were other stories told in this format, but I specifically remember Three Billy Goats Gruff. Please tell me if I have made this up in my dreams or if someone else remembers this is crucial to my adult life
For a show aimed at five year olds I like that one of the villains looks like he does weed all the time