rough sketch of the Order.
there might not be lasers shooting out of their eyes but there is some definite mutual hatred going on there. click to biggerize.
reference: (x).
C’est toujours étrange de se dire qu’on est des milliers à pleurer en même temps.
Cet incendie est à la fois un drame et en même temps… On reconstruira, on rebâtira. Il n’y a pas de morts. On a pu sortir le trésor. Ces pensées se chamboulent dans ma tête pour rationaliser. C’est toujours étrange de voir l’immuable disparaître.
C’est aussi un peu étrange pour notre période qui aime patrimonialiser mais rappelons nous que nos vieux bâtiments sont pour la plupart du temps des agrégats de différentes périodes. Notre Dame n’échappe pas à la règle: la construction s’est étalée sur deux cent ans environ, la charpente est d’origine mais les gargouilles ne le sont pas, elle a subi des restaurations… Un bâtiment est le résultat de tous les bâtiments composant son histoire. Pourtant c’est ce résultat de cathédrale, notre contemporain et avec lequel nous avons vécu qui est en train de voler dans les flammes et avec lui, peut-être, un certain rapport au temps. D’un point de vue historique, c’est peut-être triste. Ou peut-être que ce n’est qu’une nouvelle pierre à l’histoire de l’édifice, une pierre pour le moment non encore advenue, et c’est cela qui fait si mal.
Il ne faudrait pas non plus réduire la cathédrale a des vieilles pierres. Elle est un symbole qui charrie plus qu’elle même dans nos mémoires. Quand on dit Notre Dame, on pense Victor Hugo, comédie musicale, film. On pense aux maçons, architectes, tailleurs de pierre, au Moyen-Âge, à ses cours d’histoire, à des gros clichés. On pense à l’art. On pense à Paris. On pense à ce qu’on a ressenti en y mettant les pieds, croyant ou non, chrétien ou pas. Cela part aussi un peu avec les flammes. J’en oublie surement. Chacun doit avoir son ressenti (ou pas, aussi).
Je ne sais pas comment vous vous positionnez face à l’incendie, si vous pleurez la perte ou pensez au lendemain, si vous faites des blagues à coup de Sacré Cœur pour garder le sourire, ou si vous n’êtes pas touchés. En tout cas, je souhaite le mieux pour vous.
Fluctuat net mergitur, parait-il.
everybody is talking about that theon and sansa moment during the song and yeah it’s cute but why are we sleeping on the significance of sansa, the lady of winterfell who every northerner appears to respect considerably, eating the same thing in the same place as the smallfolk?
she’s not handing out bread to win them over as margaery did, she’s not eating more than necessary like cersei did, and she clearly understands the importance of food accessibility during the winter unlike daenerys. sansa organised a food train, sansa organised enough rations to at least temporarily feed thousands of people and kept the doors open prepared to take on more. sansa is out there on the ground along with all of jon’s people emphasising the importance of sticking together regardless of titles or loyalties.
critique day’s over which means I can fiNALLY POST THESE. story, art, and font are all mine ✨
send a number and a prompt you know the drill
|| for talagaindescendants, Edain palette #4.
I want a discworld fan works week or something in honour of Terry
Raise Me
Raise Me: I’ll write a drabble about my character resurrecting yours. Vice versa.
|| .. maybe not exactly ‘resurrection’, but close enough?
—
The earth cracked and rolled beneath him, and the storm raged blacker than night above him; and hail crashed down, and the towering water roared in one great bellow before all at once everything hit.
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by Cillabub on dA
A very nice portrait, I must say.
((*casually SHRIEKINGMYHEADOFF*))
Unofficial art/writing blog for particolored-socks. Updates once in a blue moon.
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